Du ski, à une heure de Porto [Vidéo]
Ils ont le visage buriné et la peau grêlée par le soleil. L’Italien Roberto Maffezzoni et le Portugais Papa Kan ont commencé à faire des bulles géantes il y a dix ans. Depuis la crise économique, master in pharmacy canada « les gens ne donnent même plus de sourires », regrettent-ils.
Un seau rempli d’eau
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savonnée. Une corde attachée à deux bâtons. Les outils de travail des deux artistes sont réunis. Il ne leur en faut pas plus pour créer des dragons volants et transparents qui serpentent la rue Augusta à Lisbonne, à proximité du Tage. Un employé plongé is viagra a blood thinner dans son téléphone ne se méfie pas… splash ! la bulle explose en pleine tête de l’homme qui éclate de rire. C’est déjà ça.
« On list of top pharmacy schools in canada pouvait gagner 30 € de l’heure avant la crise, maintenant c’est difficile d’avoir tout ça en une journée, raconte Maffezzoni, entre deux longues bouffées de cigarette. Le prix de l’eau cialis hong kong savonnée augmente, un litre à 7 € peut s’évaporer en vingt minutes de bulles si le temps est mauvais », ajoute-t-il. Le climat lisboète, la seconde plaie des artistes : « On ne peut pas travailler quand il y a trop de pluie ou de vent, en ce moment c’est quasiment impossible. »
« C’est rare de payer des bulles qui disparaissent au bout de cinq secondes »
Maffezzoni égrène la liste de ses soucis dans un rire discret, dénué d’amertume : « Les touristes hésitent moins à donner de l’argent pour quelque chose de matériel, quand on fait leur portrait par exemple. C’est plus rare de payer des bulles qui disparaissent au bout de cinq secondes. » Papa Kan l’écoute avec attention parler dans un espagnol qu’il ne connaît non prescription viagra walgreens pas, comme s’il n’avait plus besoin de comprendre sa langue pour en saisir le sens.
Asie, Espagne, Portugal… l’Italien de 42 ans ne compte pas les pays qu’il a parcourus en saltimbanque. Il vit aujourd’hui chez des amis et des squats quand buy generic cialis il en trouve. Faire autre chose de sa vie ? Il n’y pense pas : « Je me sens libre comme ça. »
Mathilde cialis 10mg reviews GRAVERSEN et Maxime ROUSSEAU
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