Le 25 avril 1974, une révolution renversait la dictature pour rétablir la démocratie au Portugal. Aujourd’hui, cette dernière perdure pendant que le souvenir des années noires s’estompe.
Le sociologue Nuno Capaz a vu des milliers de toxicomanes depuis la décriminalisation des drogues au Portugal, en 2001. Membre depuis cette date de la Commission pour la dissuasion de la toxicodépendance (CDT) de Lisbonne, qui considère les drogués comme des patients, il a accumulé les succès mais affirme que « rien n’est jamais gagné ».
Alain Mingam était un jeune photoreporter pour l’agence SIPA quand il a vécu, en 1974, la révolution des œillets. Il garde le souvenir ému d’un pays en liesse où l’armée fit corps avec le peuple pour mettre fin à près d’un demi-siècle de dictature. Il raconte.
Reporté pour intempéries sur fond de polémiques, le derby lisboète a vu la victoire de l’ouragan Benfica face au Sporting (2-0), mardi 11 février, dans une ambiance tempêtueuse tout au long de la rencontre. Avant et après, en revanche, aux abords du stade comme en ville, tout n’était qu’ordre, calme et fraternité.
Bracelets, coques de téléphone, vêtements, le liège se décline de plus en plus en objet du quotidien. Loin du traditionnel bouchon de bouteille, dont le Portugal est le principal fabricant, le liège se met à la mode.
L’association caritative Santa Casa vient de révéler les résultats d’une étude sur la population des sans abri de Lisbonne. Ils sont 600 et seulement 200 travaillent « de temps en temps ».